Dans une interview à Footmercato, le président du Sporting Claude Ferrandi fait le point et évoque plusieurs sujets comme l'objectif du club ou encore la SCIC.

Ferrandi

 

La passion du Sporting

"Il y a la passion qui nous a engagés, la passion du football et la passion du club en particulier. Le fait d'être conscient que le Sporting a des retombées économiques très importantes pour notre région et qu'il ne fallait absolument pas que tout cela soit oublié. Le Sporting fait partie de chacun d'entre nous ici. Ce ne sont pas que des paroles. On a tous quelque chose du Sporting où que l'on soit. C'est notre patrimoine."

 

La SCIC

"Aujourd'hui on a dépassé les 1 100 souscripteurs. On avait lancé un appel pour être 3000 à l'issue de la saison 2020-21. Mais avec la période un peu anxiogène un peu difficile et délicate, sans revoir les objectifs à la baisse, on ne sera pas 3000, mais on espère qu'on sera un très grand nombre quand même."

 

Les supporters bastiais

"Les supporters sont très importants dans la vie d'un club et encore plus au Sporting. On l'a vu quand on a joué la semaine dernière à huis clos. C'est surprenant, catastrophique, vous pouvez utiliser tous les qualificatifs que vous voulez, c'est juste terrible de jouer sans eux."

 

Le championnat de National

"Sur le classement et notre position aujourd'hui, on est très prudent. C'est vrai qu'on réalise un très bon début de championnat, on ne peut pas le nier. C'est très bien, on surfe sur notre dynamique de montée, on a fait une double accession puisqu'on était en N3 il y a deux saisons. On a un groupe qui est solidaire, très soudé. Après on reste très prudent, on sait que ça ne veut rien dire, on est à peine au tiers du championnat. On reste lucide et on garde la tête sur les épaules."

 

L'objectif pour les mois à venir

"On veut pérenniser le Sporting Club de Bastia dans le monde professionnel, c'est notre premier objectif. D'abord, il faut accéder à la Ligue 2. Mais ce qu'il ne faut pas, c'est de se brûler les ailes, l'important est de construire quelque chose sur le long terme et on a tout ce qu'il faut ici pour y arriver."

 

L'interview complète : cliquez ici.